La flexibilité comportementale et mentale : Enjeu économique et social !
Le manque de flexibilité entraine le jugement et le jugement grippe les rouages de la machine économique, pourquoi ?
Par apriorisme vis-à-vis de son recruteur, un collaborateur peut écarter une offre d’emploi qui lui correspondrait.
Par apriorisme, un recruteur peut écarter un candidat qui a adopté une posture qui ne lui convient habituellement pas.
Par apriorisme, un banquier peut refuser de subvenir au besoin d’un client qui s’est trompé de langage verbal ou corporel pour le convaincre, lui.
Par apriorisme, un acheteur peut décider d’aller investir ailleurs par ce que le vendeur ne lui a pas accordé l’attention non seulement qu’il souhaitait, peut-être, mais de la façon dont il le souhaitait !
Des guerres intestines démarrent quotidiennement dans les entreprises pour connotations différentes d’un terme ou d’une attitude.
Des manifestations, des révolutions et même des conflits armés peuvent naître du manque d’adaptabilité des uns aux autres.
Dans l’enjeu social qui point à l’horizon, devant l’épreuve qui attend un grand nombre de salariés, la flexibilité devient un enjeu majeur :
Se résigner lorsque l’on ne peut pas faire autre chose puis réagir avec pertinence pour défendre ses droits s’il y a lieu, s’adapter à de nouveaux interlocuteurs et de nouveaux défis quand il le faut, rebondir en offrant à d’autres ce que l’on a de meilleur, se réinventer, inventer, entreprendre… Communiquer plus efficacement pour convaincre à nouveau, provoquer de nouvelles opportunités !
Faîtes rentrer la culture de la flexibilité au cœur de vos enjeux !
Et si nous parlions ensemble concrètement de l’esprit et de la méthode ?
Le 17.06.2020
Philippe Gombault
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